Fin du monde : suis-je prêt à survivre ?
Pour calculer le temps qu’il me reste avant la tombée de la nuit, je place mes deux mains entre la ligne d’horizon et le soleil et je compte combien de doigts les sépare...
On peut tenir théoriquement :
En cas de situation extrême, je sais que :
Je suis perdu en pleine nature. Pour me repérer, je :
Lâché sans équipement dans la nature, je peux pêcher du poisson :
Ça fait 24h que je n’ai rien bu. J’aperçois enfin une étendue d’eau. Je :
Je suis lâché en pleine forêt. Il va faire nuit et froid 🦇… Je :
Fin du monde : suis-je prêt à survivre ?
Je suis totalement prêt à survivre
S’il y a bien une personne prête à survivre en cas de fin du monde, c’est moi. J’ai un côté survivaliste inné et je suis passionné de nature ! Grâce mon mental d’acier, mon sens de la survie est hyper développé. Je suis aussi beaucoup dans la performance, ce qui fait que je n’ai pas peur de tester mes limites, surtout hors de ma zone de confort. Je suis sûrement fan de stages de survie, familier des techniques militaires pour subsister dans les situations extrêmes et fin connaisseur de matériel de survie.
Il va falloir que j’apprenne à survivre
Si je veux pouvoir survivre à la fin du monde, il va falloir que j’apprenne quelques techniques de pro ! Je rêve de savoir faire des pièges à poissons, construire un abri pour me protéger du froid, etc... Voici donc quelques conseils de survivant pour améliorer mes chances de survie : par exemple, on peut théoriquement survivre 3 jours sans boire et 30 jours sans manger. Et en cas de nécessité, on peut percer la batterie de son téléphone pour allumer un feu. Mais le plus important est d'être préparé, au cas où… Si je veux donc me préparer à tout, il existe des stages de survie qui pourront tester mon mental en situation quasi réelle...
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